Arrêtons de nous prendre le chou les entraînements drone les séances de musculation calculer avec trois rations de pâtes + a + b et tout le tralala on vois bien que ça sert a rien on est dégueulasse.
revenons fondamentaux comme l'a fait Saint-André en 2011 pour la coupe du monde quand ça allait pas que tous les joueurs et le staff s'enferme dans un endroit avec 4 fûts de bière a ce mettre une grosse mine et qu'ils se disent les choses pour re créé un noyau car la c'est le néant et laisser la chance au gamin comme pompon qui a chaque fois a joué a prouvé enfin qu'un miracle frappe notre beau club car là on est a l'ouest et je fini sur un aller Bourgoin
Bourgoin- Massy samedi 11 novembre à 19h00, qui va gagner ?
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dooome
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Ryo a écrit :Faudrait revenir à un discours a la Couturas aussi : le village gaulois contre tous. Les laissez pour compte pris de haut par tout le monde car pas du sérail. Pour recréer cet esprit Berjallien.
Ce qui est dommage c'est que ceux qu'on pensait garant de cet esprit sont de vrais sénateurs : les Cotte, Ylmaz, Lepage... De vrais pantouflards.
L'esprit Berjallien, le petit village qui résiste à l'envahisseur, il y longtemps qu'il n'existe plus... On se fourvoie à prendre des glorieux anciens, on fait rêver les nostalgiques...
La vérité c'est que tous ceux qui ont cru que mettre PP + Gondrand + les frères Cotte + Momo + Bouillot en disant que ça va marcher parce qu'ils sont d'ici ou parce que ce sont de glorieux anciens... se sont fourvoyés. 
L'esprit "Berjallie", la citadelle imprenable, les incantations vers Couturas, tout ça ne marche pas. Il faut même arrêter avec ça, ce sont les recrues les plus lointaines et les moins Berjalliennes qui, souvent, donnent + satisfaction que les anciens.
L'esprit Berjallien n'existe plus. En tout cas il est en sommeil profond. Et je ne vois pas pourquoi il faudrait le réveiller... Ce n'est pas la direction vers laquelle il faut aller.
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dooome a écrit :Ryo a écrit :Faudrait revenir à un discours a la Couturas aussi : le village gaulois contre tous. Les laissez pour compte pris de haut par tout le monde car pas du sérail. Pour recréer cet esprit Berjallien.
Ce qui est dommage c'est que ceux qu'on pensait garant de cet esprit sont de vrais sénateurs : les Cotte, Ylmaz, Lepage... De vrais pantouflards.L'esprit Berjallien, le petit village qui résiste à l'envahisseur, il y longtemps qu'il n'existe plus... On se fourvoie à prendre des glorieux anciens, on fait rêver les nostalgiques...
La vérité c'est que tous ceux qui ont cru que mettre PP + Gondrand + les frères Cotte + Momo + Bouillot en disant que ça va marcher parce qu'ils sont d'ici ou parce que ce sont de glorieux anciens... se sont fourvoyés.
L'esprit "Berjallie", la citadelle imprenable, les incantations vers Couturas, tout ça ne marche pas. Il faut même arrêter avec ça, ce sont les recrues les plus lointaines et les moins Berjalliennes qui, souvent, donnent + satisfaction que les anciens.L'esprit Berjallien n'existe plus. En tout cas il est en sommeil profond. Et je ne vois pas pourquoi il faudrait le réveiller... Ce n'est pas la direction vers laquelle il faut aller.
Je suis pleinement d'accord avec toi Doome !
Par contre, Couturas, il tenait ses joueurs et avec Martinet à l'époque, ils avaient ce truc qui fait que les joueurs étaient des morts de faims sur le terrain... Il faut donc s'en inspirer mais pas copier ! Il faut créer notre propre truc, notre propre déclic version années 2020-2030 qu'on a pas pour l'instant au CSBJ.
Message modifié le mardi 7 novembre 2023 à 09h13 par BatBoy38
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dooome
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BatBoy38 a écrit :dooome a écrit :Ryo a écrit :Faudrait revenir à un discours a la Couturas aussi : le village gaulois contre tous. Les laissez pour compte pris de haut par tout le monde car pas du sérail. Pour recréer cet esprit Berjallien.
Ce qui est dommage c'est que ceux qu'on pensait garant de cet esprit sont de vrais sénateurs : les Cotte, Ylmaz, Lepage... De vrais pantouflards.L'esprit Berjallien, le petit village qui résiste à l'envahisseur, il y longtemps qu'il n'existe plus... On se fourvoie à prendre des glorieux anciens, on fait rêver les nostalgiques...
La vérité c'est que tous ceux qui ont cru que mettre PP + Gondrand + les frères Cotte + Momo + Bouillot en disant que ça va marcher parce qu'ils sont d'ici ou parce que ce sont de glorieux anciens... se sont fourvoyés.
L'esprit "Berjallie", la citadelle imprenable, les incantations vers Couturas, tout ça ne marche pas. Il faut même arrêter avec ça, ce sont les recrues les plus lointaines et les moins Berjalliennes qui, souvent, donnent + satisfaction que les anciens.L'esprit Berjallien n'existe plus. En tout cas il est en sommeil profond. Et je ne vois pas pourquoi il faudrait le réveiller... Ce n'est pas la direction vers laquelle il faut aller.
Je suis pleinement d'accord avec toi Doome !
Par contre, Couturas, il tenait ses joueurs et avec Martinet à l'époque, ils avaient ce truc qui fait que les joueurs étaient des morts de faims sur le terrain... Il faut donc s'en inspirer mais pas copier ! Il faut créer notre propre truc, notre propre déclic version années 2020-2030 qu'on a pas pour l'instant au CSBJ.
En phase avec ça. Le déclic viendra de leaders, et la fonction de leader elle ne se décrète pas en fonction de ses années de service au CSBJ. Le ou les patron(s) seront ceux qui créeront les 3 conditions suivantes :
-Harmonie entre les individus (staff dans son ensemble avec les joueurs, joueurs entre eux, etc., avec des leaders, des soldats, des rigolos, des sérieux, des besogneux et des artistes, etc... ) le tout autour d'un projet commun.
Je ne sais plus où j'ai lu ça, mais dans un club connu le directeur sportif disait qu'en substance, avant de choisir les compétences sportives, il choisissait les hommes. J'ai toujours trouvé cette phrase pleine de sens...
-Création du groupe et de ses règles de vie. Et c'est ça le plus difficile, et notamment depuis que le rugby s'est professionnalisé. Comment prendre 40 mecs, les faire vivre ensemble avec des moments de consolidation du groupe, de la hiérarchie, des objectifs collectifs et individuels, gestion des ego, etc... C'est là que les résultats ont un double effet : Euphorisant et "ciment" quand ça gagne, et inversement quand ça ne gagne pas...
-Identification : Au club (Connaître l'histoire du club doit, en cela, être important mais il ne faut pas que cette identité Berjallienne soit démesurée non plus), identification aussi à l'environnement (tu n'as pas le même public à Lens qu'au PSG, par exemple) et adhésion totale au projet de jeu et aux consignes des coachs/du staff.
Bref, ce n'est pas l'esprit Berjallien qui nous fera gagner des matchs, ça se saurait. Ce qui nous fera battre nos adversaires, c'est la capacité du groupe à décider de changer le cours de leur histoire. La solution vient d'eux et, je continue de le penser, d'un resserrement du groupe autour d'un staff fédérateur (et juste, que ce soit dans la mise en valeur ou dans la sanction) et de leaders de combat qui tiendront le cap coûte que coûte. C'est avec un esprit de reconquête, avec beaucoup d'humilité, de travail, de répétition et d'efforts ENSEMBLE, que ce CSBJ remontera la pente.
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BatBoy38 a écrit :dooome a écrit :Ryo a écrit :Faudrait revenir à un discours a la Couturas aussi : le village gaulois contre tous. Les laissez pour compte pris de haut par tout le monde car pas du sérail. Pour recréer cet esprit Berjallien.
Ce qui est dommage c'est que ceux qu'on pensait garant de cet esprit sont de vrais sénateurs : les Cotte, Ylmaz, Lepage... De vrais pantouflards.L'esprit Berjallien, le petit village qui résiste à l'envahisseur, il y longtemps qu'il n'existe plus... On se fourvoie à prendre des glorieux anciens, on fait rêver les nostalgiques...
La vérité c'est que tous ceux qui ont cru que mettre PP + Gondrand + les frères Cotte + Momo + Bouillot en disant que ça va marcher parce qu'ils sont d'ici ou parce que ce sont de glorieux anciens... se sont fourvoyés.
L'esprit "Berjallie", la citadelle imprenable, les incantations vers Couturas, tout ça ne marche pas. Il faut même arrêter avec ça, ce sont les recrues les plus lointaines et les moins Berjalliennes qui, souvent, donnent + satisfaction que les anciens.L'esprit Berjallien n'existe plus. En tout cas il est en sommeil profond. Et je ne vois pas pourquoi il faudrait le réveiller... Ce n'est pas la direction vers laquelle il faut aller.
Je suis pleinement d'accord avec toi Doome !
Par contre, Couturas, il tenait ses joueurs et avec Martinet à l'époque, ils avaient ce truc qui fait que les joueurs étaient des morts de faims sur le terrain... Il faut donc s'en inspirer mais pas copier ! Il faut créer notre propre truc, notre propre déclic version années 2020-2030 qu'on a pas pour l'instant au CSBJ.
Bien dit je te rejoins ????
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Ryo
Junior
dooome a écrit :BatBoy38 a écrit :dooome a écrit :Ryo a écrit :Faudrait revenir à un discours a la Couturas aussi : le village gaulois contre tous. Les laissez pour compte pris de haut par tout le monde car pas du sérail. Pour recréer cet esprit Berjallien.
Ce qui est dommage c'est que ceux qu'on pensait garant de cet esprit sont de vrais sénateurs : les Cotte, Ylmaz, Lepage... De vrais pantouflards.L'esprit Berjallien, le petit village qui résiste à l'envahisseur, il y longtemps qu'il n'existe plus... On se fourvoie à prendre des glorieux anciens, on fait rêver les nostalgiques...
La vérité c'est que tous ceux qui ont cru que mettre PP + Gondrand + les frères Cotte + Momo + Bouillot en disant que ça va marcher parce qu'ils sont d'ici ou parce que ce sont de glorieux anciens... se sont fourvoyés.
L'esprit "Berjallie", la citadelle imprenable, les incantations vers Couturas, tout ça ne marche pas. Il faut même arrêter avec ça, ce sont les recrues les plus lointaines et les moins Berjalliennes qui, souvent, donnent + satisfaction que les anciens.L'esprit Berjallien n'existe plus. En tout cas il est en sommeil profond. Et je ne vois pas pourquoi il faudrait le réveiller... Ce n'est pas la direction vers laquelle il faut aller.
Je suis pleinement d'accord avec toi Doome !
Par contre, Couturas, il tenait ses joueurs et avec Martinet à l'époque, ils avaient ce truc qui fait que les joueurs étaient des morts de faims sur le terrain... Il faut donc s'en inspirer mais pas copier ! Il faut créer notre propre truc, notre propre déclic version années 2020-2030 qu'on a pas pour l'instant au CSBJ.
En phase avec ça. Le déclic viendra de leaders, et la fonction de leader elle ne se décrète pas en fonction de ses années de service au CSBJ. Le ou les patron(s) seront ceux qui créeront les 3 conditions suivantes :
-Harmonie entre les individus (staff dans son ensemble avec les joueurs, joueurs entre eux, etc., avec des leaders, des soldats, des rigolos, des sérieux, des besogneux et des artistes, etc... ) le tout autour d'un projet commun.
Je ne sais plus où j'ai lu ça, mais dans un club connu le directeur sportif disait qu'en substance, avant de choisir les compétences sportives, il choisissait les hommes. J'ai toujours trouvé cette phrase pleine de sens...-Création du groupe et de ses règles de vie. Et c'est ça le plus difficile, et notamment depuis que le rugby s'est professionnalisé. Comment prendre 40 mecs, les faire vivre ensemble avec des moments de consolidation du groupe, de la hiérarchie, des objectifs collectifs et individuels, gestion des ego, etc... C'est là que les résultats ont un double effet : Euphorisant et "ciment" quand ça gagne, et inversement quand ça ne gagne pas...
-Identification : Au club (Connaître l'histoire du club doit, en cela, être important mais il ne faut pas que cette identité Berjallienne soit démesurée non plus), identification aussi à l'environnement (tu n'as pas le même public à Lens qu'au PSG, par exemple) et adhésion totale au projet de jeu et aux consignes des coachs/du staff.
Bref, ce n'est pas l'esprit Berjallien qui nous fera gagner des matchs, ça se saurait. Ce qui nous fera battre nos adversaires, c'est la capacité du groupe à décider de changer le cours de leur histoire. La solution vient d'eux et, je continue de le penser, d'un resserrement du groupe autour d'un staff fédérateur (et juste, que ce soit dans la mise en valeur ou dans la sanction) et de leaders de combat qui tiendront le cap coûte que coûte. C'est avec un esprit de reconquête, avec beaucoup d'humilité, de travail, de répétition et d'efforts ENSEMBLE, que ce CSBJ remontera la pente.
Je me suis peut-être mal exprimé mais mon message rejoint celui de BatBoy.
Car en fait tout ce que tu cites nous amène à ce qui a créer l'esprit berjallien, ce sont des recettes immuables et classiques! 
Et je suis persuadé que ça viendra de futurs formés au club (et encore la mentalité a changé) ou de joueurs arrivant d'horizons divers.